• 3000 Visiteurs ...

    Hum hum, on l'a refait. 1, 2 et 3. Ca y est, vous lisez bien ? Ok, c'est partie !

    Ou là là ... Ok donc on passe de 2000 visiteurs à 3000 visiteurs en 1 mois ... 

    Ou là là ...

    Comment dire ? EN UN MOIS. 0_o

    3000 Visiteurs ...

    Mais vous êtes plus que super dites donc !  Vous êtes merveilleux, magnifiques, fantastiques !

    Vous êtes les petites perles rares qui font voler notre tout petit blog parmis tant d'autres ...

    Merci, à toutes nos petites perles !

    Image associée

    ♫ -Haru- et Naory ♫


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  • /!\ CHAPITRE A NE PAS LOUPER/!\

    → A lire avec des biscuits et une couverture. (Long et pleins en amour !)

    De toutes ma vie, je n'ai jamais hurlé aussi fort :

    - HIROTO !!!

    Je cours, je hurle, je rage, je fonce vers celui qui m'attends. Plus que 5 mètres .. Plus que 3 mètres ... Plus que 1 mèt .. ! Une poigne forte attrape mon bras et m'arrache un hurlement :

    - Reviens là toi ! Crie l'homme de 40 ans, celui qui m'a attrapé.

    Je n'ai pas le temps de répondre. Hiroto lance :

    - Kilari ! Lâche là imbécile !

    L'homme ne cède pas. Il me lâche le bras mais prends mes cheveux en les tirants et en murmurant:

    - Tu vas venir avec moi bien gentillement hein ?!

    Je le supplie de me lâcher jusqu'à ce qu'une main s'élance dans la joue de mon agresseur et que la deuxième s'empare de moi à la taille :

    - Touches là encore une fois, et tu vas voir crétin !

    Hiroto est rouge de colère. Et c'est lui qui me tiens .. Mais je sens bien que sa main tremble de rage. Mon cœur, lui, tremble de peur. L'homme de 20 arrive enfin et ne fais pas attention à Hiroto. Il s'élance sur moi et essaie de m'arracher à la main du membre des SHIPS mais ce dernier est, bien heureusement, plus rapide et plus agile. Il attrape sa main et la lui tord dans le dos sans pour tout autant me lâcher. 

    - Je vais le répéter une dernière fois : " Touches là encore une fois, et tu vas voir !". 

    Hiroto le lâche brutalement et m'emmène avec lui et Seiji dans sa chambre. Durant le trajet, il ne m'a pas lâcher. Et je ne l'ai pas remercier... Mais ce n'est pas le moment ! Arrivé dans sa chambre, je suis certaine qu'il me grondera comme personne, comme si tout était de ma faute ! Bon ce n'est pas faux, mais quand même !

    Seiji ferme la porte à clé et Hiroto s'avance jusqu'au milieu de la salle, tête baissée et poings serrés. Seiji se retourne et lance aussi calmement que d'habitude :

    - Explique-toi.

    (mettre la musique pour la suite SVP ↑)

     

    J'ouvre la bouche mais rien ne sors. J'ai eu ... Si peur. J'avais l'impression que ma vie en dépendait ! Je sens encore mes mains qui tremble face au poids de la réalité, malheureusement affreuse. Et si je n'avais rien su ? Et si je n'avais rien fait ? Et si ..

    Mes pensées s'éteignent au contact de bras doux et chaleureux qui m'enroule tendrement.

    - Idiote.

    Il m'aurait suffit de répondre afin de prouver que je n'étais pas toucher. Mais à quoi bon, puisque ce n'était pas le cas ? Hiroto ... J'ai eu si peur, si peur que je pourrais dès à présent m'évanouir. Mais j'ai une personne que j'aime plus que tout au monde qui me soutiens, ici et maintenant. 

    J'ai eu peur, j'ai peur, et j'aurais toujours peur. De quoi ? De ne pas pouvoir être avec toi.

    Je ne peux plus me retenir. Je pleure à chaudes larmes sans m'arrêter parce que ça ne servirait à rien, parce que j'en ai besoin et surtout, parce qu'Hiroto est là. A chaque sanglots étouffer par son torse, à chaque larmes sécher par son cou, son étreinte se resserre. Seiji quitte la pièce doucement et Hiroto me chuchote :

    - Tu m'as fais peur, tellement peur ..

    Je n'arriverais jamais à dire ce que j'ai sur le cœur pour deux raison. Une idiote et une intelligente. La première est que son cou et plaqué sur mes lèvres et que mon seul mot serait inaudible. La deuxième est que, le silence est d'or. Comme Hiroto. Il n'empêche que j'essaie d'ouvrir la bouche mais je suis coupé par mon protecteur :

    - Chut, ne dis rien. Tu pourras t'expliquer, mais pas maintenant. 

    Il soupir et continu :

    - Contemple ton silence et ma réponse. 

    Je ne comprends pas de suite. Mais par la suite, je vois ce qu'il veut dire. Tandis que je sanglote en silence, il me répond en séchant mes larmes.

    Il s'écarte de moi, à contre-cœur. Puis, il plonge ses yeux dans les miens, réciproquement. 

    De toute mon existence, je n'ai jamais vu Hiroto pleurer. A cet instant précis pourtant, c'était le cas. Néanmoins il ne pleurait pas, il avait les larmes aux yeux. Mon cœur se déchire de voir à quel point j'ai pu affecter Hiroto et je me met à pleurer de plus belle.

    - Eh ... Plus tu pleures et plus tes larmes affiche un brouillard de tristesse dans tes yeux. 

    Je lève la tête, touché.

    - Et moi, je préfère tes beaux yeux bleus, pétillant de couleur et de joie. Les yeux de la Kilari qui vit en moi.

    Hiroto se penche en avant et dépose sur ma joue un baiser au goût de l'espoir.

     


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  •  Je reste pétrifiée en entendant la porte du placard grincer. Je la vois s'ouvrir lentement et laisser filtrer un rayon de lumière à travers l'entrebâillement. Quel visage vais-je découvrir en face de moi ? J'attend en silence avec cette étrange impression de voir les secondes s'étirer comme des heures. Mon cœur s'emballe à nouveau lorsqu'une idée folle me traverse l'esprit. Et si j'essayais...? J'expire à fond et la porte s'ouvre enfin entièrement, dévoilant un visage étonné et perplexe à la fois.

    - Tsukishima...?!

    Le deuxième homme se retourne d'un bloc. Ils sont encore sous le choc. C'est le moment !  Je m'élance vers la sortie avant qu'ils ne m'attrapent pour de bon. Je ne suis peut-être pas la meilleure en sport, mais la peur me donne des ailes et je file à toute allure. Le plus jeune ne me suis pas tout de suite, mais je panique vraiment quand il s'y met. Mon premier reflexe est alors de sortir mon téléphone. Je cherche dans la liste des noms le premier venu qui pourrait m'aider.

      A, B, C, D...

    Non, non ,non...! Je n'y crois pas, ce n'est pas possible...!

    E, F, G, H...

    H...! Hiroto Kasama. Il n'est pas trop loin, normalement. Oui, ça peut marcher...

     

    ***

     

    (Hiroto) 

    Mon téléphone se met à sonner au fond de ma poche. Je le sors avec un soupire, qui se transforme en une esquisse de sourire lorsque je vois qu'il s'agit de Kilari. 

    - Allô ?

    " J'aimerai bien savoir ce qu'elle a à me dire...", je songe, curieux.

    - Hiro...to, c'est... c'est moi...

    ....

    Je comprend tout de suite que quelque chose ne va pas. Ma main se crispe et je demande d'une voix inquiète :

    - Kilari ? Qu'est ce qui s'est passé ?

    Sa voix me paraît lointaine, mais je l'entend me répondre :

    - Je suis... poursui...vie... Aide-moi, Hiroto...!

     

    ***

    (Seiji)

    J'entend Hiroto crier mon nom. Je sursaute et me tourne vers la porte d'où il ne tarde pas à surgir.

    - Mais qu'est ce qui te prend, Hiro ? je lance, surpris.

    Il tient dans sa main son portable d'où s'échappe une respiration saccadée. Je ne remarque son visage tendu et ses jambes tremblantes que lorsqu'il s'avance vers moi en courant. " Que s'est-il passé ? " J'aurais voulu lui demander, mais aucun son ne franchi la barrière de mes lèvres. Il me prend précipitamment par les épaules et m'entraine dehors sans un mot. Mais c'est inutile, parce-que je sais que Kilari est la seule personne a pouvoir à ce point inquiéter Hiroto. De plus, elle a le don de s'attirer des ennuis... Alors je ne dis rien et je le suis à l'aveuglette. On va la retrouver... La peur me tenaille le ventre et me hante l'esprit.

      Que s'est-il passé...? Est-ce que Kilari va bien...? Où est-elle...?

     

    ***

    (Kilari)

    J'ai la gorge sèche, le souffle court et les jambes en miettes. J'ai pu prendre pas mal d'avance au début étant donné que le premier homme ne court pas très vite et que le deuxième est partit assez tard. Celui là est rapide, en revanche, et moi je vais bientôt m'arrêter... non, réflexion faite, m'effondrer conviendrait mieux... Et Hiroto qui n'arrive pas... Je n'en peux vraiment plus. Je vais m'effondrer, je vais m'effondrer... Je tient bon. Je continue de courir, mon téléphone dans ma main droite qui le serre fort. Je m'y rattache comme une bouée, la voix de Hiroto guidant mes pas pur qu'il puisse me retrouver. Il court, alors moi aussi. Je me dirige comme une flèche vers le parc, talonnée des deux hommes. Mais qu'est ce qu'ils me veulent, à la fin ? C'est si important que ça de ne pas me laisser partir ? Ils espèrent peut-être me faire oublier, c'est ça ? Je serre les dents et accélère un peu.

      Jusqu'à ce que j'aperçois enfin Hiroto devant moi, accompagné de Seiji.

     

     


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  •   Au fond du placard, tapie dans l'ombre, je suffoque. Leurs pas résonnent dans le couloir alors que je reste cachée derrière ces balais qui, malgré tout, m'ont évité de gros ennuis. Enfin, je ne suis pas si sure de pouvoir dire ça... Koaku m'a trahie dans le seul but de remporter la victoire lors de ce duel. Et moi qui commençait même à le considérer comme un ami... Comment a-t-il pu faire une chose pareille ? Je secoue la tête et enlève à cette question le droit de me tourmenter d'avantage. Mon bras se tend presque de lui même et repousse doucement la porte en bois, puis je sors enfin du placard d'un pas hésitant. Je me dirige vers ma loge et j'y reste le temps de me calmer. J'attendrai demain matin pour me forger une véritable opinion et, si nécessaire, j'en parlerai aux SHIPS...

    ***

    Lendemain, 07 h 50

     J'ai retrouvé mon placard à balais avec une pointe d'appréhension. Peut être que je me fais des idées, mais je sens plutôt mal ce rendez-vous... Le pire, c'est si il dure trop longtemps et que je ne peux pas sortir du placard... À 8 h 30, je dois aller au cours de danse. Je préfère ne pas imaginer les têtes de Mr. Takada, Mr. Muranishi et Mme Kumoï si j'arrive en retard... Et c'est sans compter que je devrai m'expliquer devant eux...

     " Bonjour ! Je suis en retard parce que j'étais cachée dans un placard de la salle de karaoké, occupée à écouter la conversation de deux hommes qui ont apparemment une dent contre moi. Ils ont l'intention de me ridiculiser devant le publique pour me faire perdre le duel face à Koaku qui, dernière nouvelle, n'est plus un ami mais un rival. Je ne vous en ai pas parlé plus tôt parce que je ne trouvais pas la situation si dramatique. Sinon comment ça va ? "

      Non. Décidément, il va falloir que se rendez-vous se termine au plus tôt. Quitte à ce que j'y mette fin moi-même...

     

    07 h 55

      Cinq minutes à peine se sont écoulées et j'ai l'impression d'y être depuis plus d'une heure... J'aurai mieux fait d'en parler directement. Venir ici était plus que stupide, je crois... D'autant plus que je ne connais pas le moins du monde ces deux hommes et que je croyais connaître Koaku... Je m'en veux d'avoir été si naïve ! Et si ils venaient encore plus nombreux...? D'ailleurs, je commence à entendre des pas se rapprocher...

     

    08 h 00

    Les deux hommes de hier sont bien présents et, à mon grand soulagement, personne d'autre n'est venu. Pas étonnant, je suppose. Ils s'asseyent sur des chaises face à face et se regardent droit dans les yeux, avec l'air grave de ceux qui s'apprêtent à élaborer un plan d'attaque très stratégique. Peut être que ce n'est pas si loin de ça...

     Le premier qui prend la parole est l'homme d'environ 40 ans :

    - On ne pourra pas changer le CD, sinon on les pénalisera tout les deux. Figure-toi qu'on ne pourra pas changer une nouvelle fois de CD entre les deux !

     Je vois dans l'entrebâillement de la porte que son compagnon sourit. Il remonte ses lunettes sur son nez d'un air satisfait.

    - J'y ai réfléchis, hier soir. Il ne m'as pas fallut longtemps pour me décider à emmener un CD que Koaku connaît. J'imagine que tu n'y avais même pas pensé, je me trompe ? dit-il d'un ton provocateur.

     Je ne vois pas son expression étant donné que celui-ci est de dos, mais je parviens à imaginer au son de sa voix la grimace qu'il doit faire :

    - Arrête ça. On est pas là pour se prendre la tête, c'est clair ? Je ne suis pas venu pour le simple plaisir de travailler avec toi. Je suis là, ON est là pour cette fichue histoire de duel ! Rappelle-toi : tendre un piège à Kilari et faire gagner Koaku. Rien d'autre, compris ? 

     Je sursaute violement, ce qui ne manque pas de faire bouger tous les balais qui s'entrechoquent contre le bois. Mon cœur bat la chamade.

    "Tendre un piège à Kilari..."  

    Ces mots résonnent dans ma tête en même temps que je réalise le boucan que je viens de faire.

    - C'était quoi ça ? lâche le plus âgé des deux.

    Non... il faut toujours que je sois si maladroite...

    - Ça vient du placard à balais...

    Je ferme les yeux et j'espère de toutes mes forces pouvoir disparaître. J'entend le deuxième homme qui se lève.

    - Je vais voir... 


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  • Cette voix, c'était celle de Seiji. Je me retourne d'un bond et je le vois. Il est accompagné de Koaku ! les larmes me montent aux yeux et je fonce vers Seiji :

    - Oh Seiji ! Hiroto n'est qu'un imbécile il n'arrête pas de voir le mal partout ..!

    Seiji pose sa main sur mon épaule et dit :

    - Mais non voyons .. Il est extrêmement gêné de tes compliments, c'est ça à chaque fois et tu le sais ..

    Je plonge ma tête dans mes mains et je sanglote. Oui je le sais. Mais seulement, c'est trop facile à croire. Hiroto n'est qu'un .. Qu'un .. Qu'un simple imbécile,stupide et idiot qui ne pense qu'à lui et qu..

    - Tiens.

    Je lève la tête intrigué en sortant de ma colère. Koaku me tend une canette de soda. Je la prends lentement et il me dit :

    - Tu dois être fatigué après ce qu'on a chanté je pense .. Il faut que tu te reposes Kilari.

    C'est une des premières fois qu'il prononce mon prénom. Mais pourtant, c'est l'effet d'une bombe dans mon coeur. Je rougis et dit :

    - Oui. Tu dois avoir raison .. Merci beaucoup à vous deux ...

    Je me retourne prête à partir quand Koaku finit :

    - Kilari ! Arrête de pleurer. Tu n'es pas jolie quand tu es triste.

    Je souris et lance :

    - Je veillerai à y faire plus attention dans ce cas là !

    En tournant la tête, j’aperçois sur le visage de Seiji, un sourire en coin. Un sourire qui veut dire quelque chose. Mais quelque chose de secret ...

    ***

    Je me réveille, Na-san au creux de mes bras. Je lui souris et je le laisse encore dormir un peu. Cela doit bien faire 1h30 que je dors et en pleine tournée, ce n'est pas le moment ! Je me reprends vite et je décide d'aller en salle de karaoké afin de répéter mes chansons.

    Je remarque que l’entrebâillement de la porte est ouverte. Puis, mes oreilles entendent des chuchotements prudents. Je n'aime pas ça. Je me dépêche de me cacher sur la pointe des pieds, et de voir ce qui se trame là-bas. 

    - Elle va le battre c'est certain.

    Un homme d'environ 40 ans vient de prononcer cette phrase. A ses côtés se trouve un autre d'environ 20 ans et qui porte des grosses lunettes rondes :

    - C'est pour ça que l'on doit agir, et vite !

    - Oui mais discrètement. Il ne s'agirait pas de se faire remarquer par les SHIPS.

    Je rêve là ? Ils parlent des SHIPS !? Non ... C'est de moi qu'ils parlent !

    - Je sais ! Dit l'homme de 20 ans. Au moment ou elles chantera, je baisserai le volume de son micro. Elle perdra tout ses moyens et ne pourra plus chanter.

    - Mais avant ça, change le CD. Quand l'accompagnement se lancera, Kilari se rendra compte qu'elle ne le conais pas et ainsi elle chantera en improvisé, puis tu baisses le volume de son micro. Koaku remportera ainsi le duel !

    Quel tricherie ! Ce n'est pas possible ! Il est hors de question qu'il face ça, non !

    - Ok ça marche. Bon RDV ici même, demain matin à 08h00.

    " Je serais là aussi Messieurs !" Je pense.

    Je me cache dans le placard à balais le temps qu'ils s'en aillent ...

     


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