• Chapitre 11 : La mer, une inspiration...

    Je pose mon stylos et je contemple mon premier couplet :

    - Parfait ! Pour un premier couplet, c'est plutôt bien partie ! Qu'est ce que tu en dis Na-san ?

    - Na na na na ! (Traduction : C'est super !)

    Je souris. Oui c'est super. Et ça, grâce à Seiji. Il faudra que je pense à le remercier ! Je me lève de ma chaise, j'enfile une veste et je m'engouffre dans la fraîcheur du soir qui tombe...

    Je sais que ce n'est pas raisonnable de sortir la nuit, mais j'ai besoin de réfléchir à tous ça. Ce couplet est génial. Mais qui m'en a soufflée l'inspiration ? Seiji. Qui m'a remontée le moral ? Seiji. Qui a séchée mes larmes ? Encore Seiji. Il est toujours là pour moi... Je ne sais pas comment le remercier... 

    NDA : Mettez cette musique pour la suite !!! :)

    Je marche jusqu’à la plage et je m’assois sur un rocher. Le bruit des vagues qui meurs sur le sable fait un échos dans mes pensées. J'écoute. C'est frais. C'est pur. C'est merveilleux. Si moi aussi, je pouvais être ainsi, libre comme le vent et pur comme le ciel, je serais la fille la plus heureuse du monde. Mais ici, tout est rempli de cris, de tristesse et de peur... Qui est libre de faire ce qu'il veut, quand il veut ?

    J'ôte mes chaussures et je trempe mes pieds dans l'eau clair et fraîche. Je ferme les yeux, et encore une fois, j'écoute. 

    C'est comme si cet endroit m'étais familier. Comme si j'y avais vécu un des moment les plus fort de ma vie. Et c'est là, que je me rend compte: oui. J'y est passée un des moments les plus beau de toutes ma vie. Les vagues me le rappelle. J'étais avec Lui. Il m'a pris dans ses bras. Pour la première fois. Et puis j'ai compris que je ne pouvais plus me cacher. Hiroto, c'est toi que j'aime...

    Les larmes me montent au yeux, et j'essaie tant bien que mal de les cacher. Pourtant, personnes n'est là. Personne ne peut me voir. Mais la mer, elle, est là. Et elle berce mes pensées ...

    Chapitre 11

     Je cris intérieurement : "Hiroto... Pourquoi tu n'est jamais là quand j'ai besoin de toi ? Pourquoi es tu si méchant avec moi ? Est ce que... tu... m'aimes ...? Hiroto... Répond moi... Hiroto !!! "

    Je pousse un sanglot. J'enfonce ma tête dans mes bras et je reste là, seule, face à la mer, à pleurer ma peine. J'ai mal. J'ai si mal. Aimer, c'est bon et c'est agréable. Mais ne pas être aimée, c'est si douloureux. Mes pleures résonnent dans le soir glacial. J'ai froid, je suis seule, et je pleure. Et si rien de tout cela ne s'étais passée...? Et si je vivais encore avec Miku et Sayaka, que je ne connaissais pas les Ships...? Je donnerai n'importe quoi pour pouvoir revivre une journée de ma vie passé. Mais c'es impossible. J'aime Hiroto, et si je ne l'avais pas rencontrer aujourd'hui, le destin aurait fait que je le rencontre une prochaine fois. Nous sommes liés, et rien ne pourras y changer quoi que ce soit.

    ***

    Cela fait maintenant une demie-heure que je suis devant mon bureau, un stylos à la main, et que je n'écris rien. "Concentre-toi, concentre-toi ..."

    Je relis mon dernier couplet :

    "Je sais qu'il nous arrive parfois d'avoir des doutes,

    Je cherche en moi une raison de continuer,

    Mais c'est seulement en toi qu'elle existe.

    Je suivrai le chemin qui mène à la lumière,

    Il est souvent périlleux, mais il rend toujours heureux.

    Ton regard dans le mien, tu es ancré en moi..."

     

    Au fond je me demande : "Comment j'ai réussi à écrire un truc aussi beau !?". Je pousse un long soupir :

    - Pff...

    Je me replonge dans ma feuille et je repense à tout à l'heure. Mais... Rien ne viens. Je soupir encore une fois. Soudain, une idée me vînt en tête. Je fonce vers mon poste radio, je prends un CD et je le met dedans. 

    La musique sans paroles m'aide à réfléchir.

    Je m'allonge sur mon lit, puis je ferme les yeux.

    Vie, liberté, amour, pleure... Les mots qui me viennent en tête. Je m'avance à mon bureau, j'attrape mon stylos et je continue :

     

    "Je te regarde et je m'avance 

    mais c'est mots restent en silence

    Je les gardes au plus profond de moi,

    Un jour, je te les offrirai, Un jour je t'avouerai

    Je te tendrai la main, et je t’emmènerai loin

    Vers la lumière et la pureté du ciel

    Afin de vivre toujours heureuse à tes cotés. "

     

    Au même instant, je vis Hiroto dans mes pensées. 

    Chapitre 11

     

    Je pense : "Oui. C'est avec toi que je vivre ma vie !" 

     

     

     


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  • Chapitre 12 : Quel chanson !

    Je me réveille le matin avec Na-San à mes côtés. Je suis en retard, sans surprise. Je m'habille en vitesse et je mange dans la cuisine. C'est trooop bon... toujours sans surprise. Je sors en disant au revoir à mon père.

    Je fonce à l'agence, où je retrouve les Ships. 

    - Tiens, elle est en retard ! fait mine de s'étonner Hiroto.

    Je lève un sourcil interrogateur et il comprend ma question muette. Il fait alors un infime mouvement de la tête pour me répondre que oui, on continue le plan. Je cligne des yeux pour lui montrer que j'ai compris. 

    Pas besoin de mots entre nous pour qu'on se comprenne...

    Cet échange muet n'échappe pas à Seiji, qui esquisse un sourire.

    - Je vois, Hiroto, remarque-t-il, que tu ne rate pas une occasion de taquiner Kilari...

    Il a un petit rire, juste avant de continuer :

    - Tu sais ce qu'on dit, n'est ce pas ? Qui aime bien châtie bien... 

    - He, mais ! Tu dis n'importe quoi, Seiji ! réplique-t-il. C'est qu'une cruche, de toute façon !

    - Je ne suis pas une cruche ! m'écrie ai-je, vexée.

    Il éclate de rire et me regarde dans les yeux :

    - Arrête, on dirait moi quand je te répond que je ne suis pas une tête de mule !

    J'éclate de rire à mon tour.

    - C'est ma réplique ! lance ai-je ironiquement.

    - Bon, intervient Mme Kumoï, mettons-nous au travail, maintenant ! 

    - Oui chef ! je répond, un grand sourire au lèvres. 

    Hiroto et Seiji rigolent, et Mme Kumoï se permet un sourire discret, reflet de celui qui barre le visage de Mr Muranishi. 

    - Aller, au travail. dit ce dernier, d'un air songeur.

    ***

    La matinée passe vite, on fait une séance photo et on s’entraîne sur nos nouvelles chansons, avant de refaire une petite séance photo. Ensuite je mange avec les Ships, car Mme Kumoï avait encore du travail et Mr Muranishi voulait nous laisser tranquille...

    - Alors Kilari, dit soudain Seiji, comment avance cette chanson ?

    Je rougis violemment, et je vois les yeux de Hiroto s'agrandir de surprise.

    - Quoi ?! je m'écrie, prise au dépourvue. Ma chanson...? Et bien, je... euh...

    Il éclate de rire et me jette un regard complice :

    - Je plaisante ! m'assure-t-il. Ne t'en fais pas, je comprend, c'est pas facile d'écrire une chanson d'amour !

    - Une chanson d'amour ? Euh... ben non, c'est pas facile...! je bafouille.

    Je me sens tout à coup ridicule, et je rougis une fois de plus. 

    Je me lève sans rien dire, mal à l'aise, et je pars en courant.

     Résultat de recherche d'images pour "images kilari"

    Ma chanson... Il faut en encore plus, mais je ne trouve plus l'inspiration. Même la musique ne m'aide pas pour l'instant... Je sais que ce qu'il me faut, c'est vivre... C'est la chose la plus rare du monde. Les gens se contentent en général d'exister... Certains disent que pour ça, il faut simplement de l'oxygène. Mais moi, mon oxygène, c'est Hiroto... Ce n'est qu'en sa présence que je suis véritablement heureuse. Je soupire. Si il savait... Je ferme les yeux, et encore une fois, son visage m'apparaît. Je le sais, maintenant. C'est Lui que j'aime. Même si il m'arrive parfois d'avoir des doutes, comme je le dis dans ma chanson... Sauf que cette chanson, justement, il faudrait que je la finisse... pour Seiji... J'enfonce ma tête dans mes bras. Son visage aussi m'apparaît. J'essaye de me replonger dans le passé, lorsque c'était de lui que j'était folle amoureuse...

    ***

    Miku et Sayaka me parlent des Ships, je ne comprend même pas pourquoi, elles savent que je ne m'y intéresse pas. Un groupe célèbre. Deux garçons, beaux comme on en vois pas tous les jours, d'après elles. Je lève la tête vers le soleil, et soudain, je vois une petite tortue perchée sur un arbre. Je fonce la rattraper. Puis je me sens basculer. Je panique, j'agite les bras, et lorsque je tombe, je crie. Un court instant, je croix que je vais mourir. Une fraction de seconde, je ne comprend pas. Je ne suis pas morte. Je lève la tête, puis...  

    C'est là que je le vois pour la première fois... C'est là que je tombe amoureuse pour la première fois...

    Un merveilleux garçon me tient dans ces bras... C'est lui qui m'a rattrapée, il m'a sauvée !

    Mon cœur s'emballe aussitôt, j'ai presque l'impression qu'il peut l'entendre...

    Comme j'aimerais pouvoir le regarder autant que je veux sans qu'il ne s'en aperçoive ! Il est si beau !

    On s'échange quelques mots, magiques pour moi, anodins pour lui.

    Si je n'appartient vraiment pas à son monde, le monde du spectacle, je ferai tout pour y entrer. Et j'y arrive, un jour...

    J'ai l'impression de renaître... et je vis ! Quel  bonheur !

    L'amour me fait vivre, et il grandit au fil des jours. Seulement... m'aime t-il...? Je sais que non... Ce que ça peut faire mal... 

    ***

    De retour de mon petit voyage intérieur, je prend mon crayon, les larmes aux yeux. Je ne peut pas continuer ainsi. Je ne peut pas continuer à devoir être triste en me replongeant dans le passé ou avoir des doutes pour avoir l'inspiration... J'aimerai tellement que cette chanson puisse vraiment refléter mes pensées, mais c'est impossible. J'aime Hiroto, c'est à lui que je pourrais dire toutes ces choses...

     

     "M'aime-tu ?" La peur m'envahit.

    "Comment être courageuse ?" Je te vois : le temps s'arrête.

     

    Alors peut importe qui je suis,

    Parce que quand je tombe, tu me relève,

    Parce que quand je suis seule, tu es là, 

    Parce que quand je pleure, tu es à mes côtés,

    Parce que quand je suis dans l'ombre, tu me vois,

    Parce que quand je suis loin, tu m'attend.

     

    Et ce sont ces milliers de petites choses qui font que tu es toi,

    ces milliers de petites choses qui font que je t'aime. 

     

    Ma peur s'envole. Je serai courageuse. Je te vois, le temps s'arrête.

     

    Je sourit et j'écrit le début du prochain couplet, tant je lis ma propre émotion entre les lignes. 

     

    Et tout ce temps je savais que je te trouverais,

    Faisons un pas de plus sur le chemin,

    Ce chemin qui est notre destin.

    Main dans la main, ne me lâche pas,

    Nous sommes liés par une promesse d'éternité.

     


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  •  Chapitre 13 : Le mot d'Hiroto...

    "Pff... Pourquoi c'est moi qui dois faire le ménage de l'agence ! Juste à cause d'un petit rire au moment ou Mme Kumoï à trébucher sur Monsieur Muranishi ! C'est injuste ! "

    J'attrape un balais, un seau d'eau et je me dirige vers le bureau. Heureusement, Hiroto à proposé de m'aider ! J'ouvre la porte et je découvre, ce faignant d'Hiroto, allongé sur le canapé...

    - Hé ! Tu as dit que tu allai m'aider ! Pas que tu allai dormir ! Râlai-je.

    En m'approchant de plus près, je remarque qu'Hiroto ne dors pas. Il se tord de douleur. Je pousse un cri et je me précipite vers lui :

    - Hiroto ! Ça va ? Tu m'entends ? Qu'est ce qui ne vas pas !?

    - Aïe... Kilari... J'ai super mal à le tête... Dit-il difficilement.

    Je m'affole :

    - Euh... Viens ! Dans la cuisine il doit y avoir des cachets ! Lève toi.

    Il se lève difficilement et s'appui sur mon épaule. Il se tient la tête aussi... Je marche rapidement tandis qu'Hiroto essaie de suivre le rythme.

    - Là. Assied-toi je te prépare ce qu'il faut...

    Il m'obéit tandis que je fonce vers les placards pour chercher une aspirine ! La chance est avec moi, il y en a une. Je la plonge dans un vers d'eau que je fais boire à Hiroto. 

    - Merci... Dit-il.

    - Y'a pas de quoi... Dis-je embarassée.

    Le silence s'installe et je me tourne les pouces. Il faut absolument que je me mette au ménage maintenant... Sinon je vais rentrer tard chez moi ! Mais Hiroto... Comme si il avait lu dans mes pensées, ce dernier précise :

    - Ne t'inquiète pas pour moi. Commence le ménage... Je te rejoint d'ici vingts minutes...

    J’acquiesce.

    - Mais surtout, si tu n'es pas en états Hiroto, reste te reposer d'accord ?

    Maintenant, c'est lui qui acquiesce.

    Je monte à l'étage, et je commence à nettoyer le parquets tout en pensant à Hiroto. 

    Le pauvre... Il a l'ai si mal pourtant ce n'est pas que j'ai pitié de lui, mais la façon dont il se comporte me paraît bizarre... De plus, il n'a pas attrapé froid que je sache ! Mais j'y pense ! Peut-être qu'Hiroto va bien mais il a simplement honte de me parler de quelques choses alors il fait semblant d'avoir mal à la tête ! Ah il ne m'aura pas comme ça ! Je croise les bras et je redescends dans la cuisine. J'ouvre la porte brusquement et je déclare :

    - Hiroto !!! Qu'est ce qui ne va p...

    Je n'en croix pas mes yeux. Hiroto a disparu. Il n'est pas dans la cuisine.

    - Hiroto ...? C'est pas drôle si tu veux me faire peur ! Hiroto !? Ou es tu ?

    Je cours dans tout l'immeuble de l'agence à sa recherche mais : en vain. "Ou es-il passé ?"... Je reviens sur mes pas et je m’assois à la table de la cuisine. Ou est il...? Il m'a laissé seule. Il m'a...abandonnée... Hiroto...Pourquoi ?! "Je mangerais bien quelque chose moi..."

    Je traîne des pieds en me dirigeants vers un des placards, à la recherche de gâteaux quand soudain, je vois un papier scotchés sur un placard. Instinctivement, je cours vers ce papier. Je l'arrache et je lis :

    "Kilari,

    Je savais que tu allai à un moment ou à un autre chercher de quoi manger, alors poser ce papier sur le placard devait être la meilleure idée ! :-)

    En fait, ne t'en fais pas pour moi. Je rentre chez moi, je ne suis vraiment pas bien... Désolé de ne pas avoir pu faire le ménage avec toi, on remettra ça à une autre fois ! ;-) En tout cas, je voulais juste te demandais :

    Est ce que, samedi tu serai libre ? J'aimerai te parler de quelques trucs. Si tu es libre, RDV dans le parc, à 11h00. Et si tu n'es pas libre, tant pis ! :-)

    A demain.

                         Hiroto"

    Chapitre 13

     


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  • Chapitre 14 : Le rendez-vous

     

    Samedi. On est Samedi, je suis libre. Il est 8 h 45, je n'ai presque pas dormis de la nuit, je ne suis même plus dans mon lit parce que j'y déjà renoncé. Mais je ne suis pas fatiguée, justement, je suis en pleine forme ! J'ai hâte d'être au parc pour le rendez-vous que Hiroto m'a donné. Même si je me doute que ce n'est pas... enfin, il veux juste me parler, quoi.

    Je termine ma pile de crêpes en silence avant de prendre  une longue et bonne douche brûlante. D'habitude, je préfère le soir, mais ça me fait passer le temps... ensuite je m'habille, je me sèche les cheveux, puis je sors de la maison pour me diriger vers le parc. Il est 10 h. 

    En y arrivant, je m'assied sur un banc et j'attend. Quelques minutes plus tard, je me lève. Je n'en peut plus d'attendre. Je me met à faire les cent pas, embarrassée. Et si il oubliait...? Non !  Hiroto n'est pas aussi tête en l'air que moi, quand même !

    - Bon, calme-toi. Dans un cas comme celui là, Kilari, tu...

    - ... tu fonces prendre une crêpe !         

    Je sursaute et je me retourne d'un bloc.  

    - HIROTO !!!

    Il sursaute à son tour.

    - Dis, Kilari, tu n'es pas obligée de crier comme ça ! 

    - Pardon... mais tu m'a fait peur, tu sais !

    - Toi aussi...  répond-t-il en souriant.

    - Ok... pardon. Ca te va ? je demande en rigolant.

    - C'est bon, ca me va ! déclare-t-il en m'envoyant un clin d'œil.

    On éclate de rire, puis je lui demande :

    - Qu'est ce que tu voulais me dire, en fait ? 

    Il hésite. Il se me tourne le dos, ensuite il regarde droit devant lui. Il reste silencieux encore un moment avant de tenter de dire quelque chose, embarrassé :

    - Dis moi, Kilari... Je...

    Il secoue la tête et je le vois serrer les poings. Il ne trouve pas les mots... Je m'apprête à intervenir, quand soudain, il se retourne et plante ses yeux dans les miens, d'un air décidé.

    - Kilari, si je t'ai demandé de venir, c'est parce que je voulais te demander...

    Il ferme les yeux une seconde.

    - Je voulais te demander qui tu aimais.

              Résultat de recherche d'images pour "image Kilari Hiroto"  

    Je sursaute, j'en perd les mots. Mes yeux s'agrandissent de stupeur. J'ai du mal entendre... Non... Ma respiration s'accélère en même temps que mon cœur s'emballe.

    Hiroto ne dit rien mais il attend ma réponse.

    - Qui... qui j'aime...? je balbutie. Hiroto je ne... Je ne peux pas... Euh... Ce n'est pas...

    - Répond-moi franchement, Kilari... Je dois le savoir pour... euh... pour ma chanson !

    Je souris :

    - De toutes façon, tu le sais déjà !

    Je me retourne et je pars, le laissant seul.

    C'est mieux ainsi. C'est mieux qu'Hiroto ne sache pas que je l'aime, et qu'il croit que mes sentiments sont pour Seiji. 

    Cette phrase résonna dans ma tête. Pour Seiji. Pourquoi... est ce que... Je rougis en pensant à lui !? Je ne peux pas... Non ! J'aime Hiroto et personne d'autre !

     

     


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  • Chapitre 15 : Terminée cette chanson !

     

    C'est vers toi que je viens,

    C'est en toi que je vis,

     

    Car tu es mon étoile de vie

    Car tu es mon prince de joie,

    Car tu es mon consolateur,

    Car tu es toujours là,

    Car tu es dans mon cœur,

    Car tu es mon protecteur,

    Car tu es le vent dans mon âme,

    Car tu es la joie dans ma vie...

    Je t'aime.

    Je contemple mon dernier refrain, et je j'enchaîne avec le dernier couplet :

    Même au plus profond de la nuit,

    Ton sourire me redonne confiance,

    Quand tombe la pluit,

    Pour toi, mon amour est toujours immense !

    Au fond de moi reste secret,

    Cette folle envie de liberté

    Pourtant je sais que ce n'est qu'un rêve

    Qui ne pourras être réalisé

    Au seul contact de tes lèvres...

    ***

    Enfin ! J'ai finie ! C'est pas trop tôt ! Je pose mon stylos, relis ma chanson et je rentre à l'agence.

    - J'ai finiiiiiiiiie !!! Hurlai-je en ouvrant brusquement la porte et en faisant voler ma feuille.

    - C'est vrai ? Je peux voir ? Demanda Seiji impatient.

    - Non. Tu l'entendra tout à l'heure ! Riai-je.

    - Et moi ?

    Cette voix me fit sursauter. Hiroto. Je lui tend la feuille, toute penaude en attendant sa critique. Il lit.

    - Et bah... Dit-il. On dirait vraiment que tu aimes Seiji !

    Je rougis :

    - Mais non ! 

    Il ricane, et je continue :

    - J'aime quelqu'un d'autre...

    Le silence s'installa et je ne pus m'empêcher de sortir :

    - Idiot.

    Cette fois-ci, c'étais un silence de mort. J'arrache la feuille des mains d'Hiroto et je sors de la salle, pour me préparer pour l'émission.

                                            ***

    Quel idiot. Vraiment. Il ne comprends rien à rien. Je ressers la pression de ma main sur mes genoux, à la fois à la pensée d'Hiroto, mais aussi parce que l'émissions commence dans quelques secondes. Je respire fort, tandis que Seiji, à ma droite essaie de me détendre : En vain. Soudain l'émission commence.

    - Bonsoir cher téléspectateurs ! Aujourd'hui nous commençons l'émission "chanson de star" avec Hiroto et Seiji du groupe des Ships, Kilari et Fubuki ! Je vous pris de les applaudir bien fort !!!

    Et comme je l'avais prévue, des applaudissement retentir "bien fort"... Je me lève, souris et agite la main. Nous saluons les spectateurs puis le présentateurs continua :

    - Alors, aujourd'hui les stars ci présente vont nous faire écouter une chanson... D'AMOUR !!!

    Je rougit. 

    - Voici les groupes : Seiji, Kilari / Hiroto, Fubuki ! Nous espérons que les chansons dédiées à vos partenaires seront très réaliste ! Et nous vous souhaitons : Bonne chance !

    L'émissions se coupa laissant la place au pub le temps de nous placer. J'avance vers Seiji, qui me souris :

    - J'ai hâte d'entendre ta chanson Kilari !

    - Et moi la tienne ! répliquais-je gentillement.

    Nous nous asseyons côte à côte et regardons Hiroto et Fubuki, nous imiter. C'est maintenant, que le combat commence.

    - Comme prévue, nous allons tirer au sort l'ordre des chansons !

    Le présentateurs s’avança vers une caisse remplis de balle en plastique et en piocha une, au hasard.

    - Et c'est... Kilari !

    Je me raidit. Seiji me pousse gentillement en avant et je me lève. J'avance vers le micro au milieu du plateau et je souris.

    - Bonsoir à tous ! La chanson que j'ai écrite, est vraiment dédiée à celui que j'aime. Mais il ne le sait pas. Peut-être qu'en entendant c'est paroles... Il le sera ! Mesdames et Messieurs, je vous pris de bien écouter ma chanson : "J'attends ta venue ..." !

    Le piano commence à jouer. Je tape du pieds, je prends une grande inspiration et je me lance :

    (NDA : Mettez cette musique pour lire la suite ! ;D )

    Vert = Couplet

    Rouge = Refrain

    Je sais qu'il nous arrive parfois d'avoir des doutes,

    Je cherche en moi une raison de continuer,

    Mais c'est seulement en toi qu'elle existe.

    Je suivrai le chemin qui mène à la lumière,

    Il est souvent périlleux, mais il rend toujours heureux.

     Ton regard dans le mien, tu es ancré en moi...  

     

    Je te regarde et je m'avance 

    mais c'est mots restent en silence

    Je les gardes au plus profond de moi,

    Un jour, je te les offrirai, Un jour je t'avouerai

    Je te tendrai la main, et je t’emmènerai loin

    Vers la lumière et la pureté du ciel

    Afin de vivre toujours heureuse à tes cotés.

     

    M'aime-tu ?"La peur m'envahit.

    Comment être courageuse ?Je te vois : le temps s'arrête.

     

    Alors peut importe qui je suis,

    Parce que quand je tombe, tu me relève,

    Parce que quand je suis seule, tu es là, 

    Parce que quand je pleure, tu es à mes côtés,

    Parce que quand je suis dans l'ombre, tu me vois,

    Parce que quand je suis loin, tu m'attend.

     Et ce sont ces milliers de petites choses qui font que 

    tu es toi, ces milliers de petites choses qui font que :

    Je t'aime.

     

    Ma peur s'envole. Je serai courageuse. Je te vois, le temps s'arrête. 

    Et tout ce temps je savais que je te trouverais,

    Faisons un pas de plus sur le chemin,

    Ce chemin qui est notre destin.

    Main dans la main, ne me lâche pas,

     Nous sommes liés par une promesse d'éternité.

     

    C'est vers toi que je viens,

    C'est en toi que je vis,

     

    Car tu es mon étoile de vie

    Car tu es mon prince de joie,

    Car tu es mon consolateur,

    Car tu es toujours là,

    Car tu es dans mon cœur,

    Car tu es mon protecteur,

    Car tu es le vent dans mon âme,

    Car tu es la joie dans ma vie...

    Je t'aime.

     

    Même au plus profond de la nuit,

    Ton sourire me redonne confiance,

    Quand tombe la pluit,

    Pour toi, mon amour est toujours immense !

    Au fond de moi reste secret,

    Cette folle envie de liberté

    Pourtant je sais que ce n'est qu'un rêve

    Qui ne pourras être réalisé

     Au seul contact de tes lèvres...

     

    Refrain : X3

     

    M'aime-tu ?"La peur m'envahit.

    C'est en toi que je vis,

     

    Alors peut importe qui je suis, 

    Parce que quand je tombe, tu me relève,

    Parce que quand je suis seule, tu es là, 

    Parce que quand je pleure, tu es à mes côtés,

    Car tu es dans mon cœur,

    Car tu es mon protecteur,

    Car tu es le vent dans mon âme,

     

    Car tu es la joie dans ma vie...

    Je t'aime... 

     


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