Chapitre 21 : Un long voyage ... Embarrassant !

- Et c'est partie pour l'Europe ! S'écrit Mr Muranishi.

L'avion décolle et je m'agrippe au fauteuil à coté de Mme Kumoï. Je crains l'avion...

- Ça va Kilari ?

Je me retourne et je me retrouve nez à nez avec Hiroto. Je rougit. Cela fait maintenant 1 mois que je n'ose plus lui parler depuis que l'on s'est enlacés et que ... Oh !!! Je n'ose même plus y penser ! Je bégaie que je vais bien et il se rassoit à côté de Seiji qui rit.

- Tu devrais lui avouer tes sentiments ! Me chuchote Na-san.

- Oui mais comment ? Lui demandai-je.

- Je vais te trouver la bonne occasion ! Dit mon chat en accompagnant sa réponse d'un clin d'oeil.

Je soupir et m'endors, sans trop comprendre ce que va faire Na-san...

***

- Kilari. Kilari !

J'ouvre les yeux, et je découvre Hiroto à mes côtés. 

- Hein ? Dis-je peu éveillée.

- Tu me fais mal.

Je met du temps à comprendre. Ma tête est posé sur l'épaule d'Hiroto ... Je sursaute d'un bond et hurle :

- Dé ... Désolé !!!

Il rougit :

- C'est ... c'est pas grave ...

J'observe. Nous sommes toujours dans l'avion, Seiji et Na-san sont plusieurs mètres derrière nous, en train de jouer aux cartes. Mme Kumoï et Mr Muranishi ne sont pas là.

- Pourquoi as-tu changé de place ? Demandai-je à Hiroto.

Il soupir :

- Na-san voulais jouer aux cartes avec Seiji, alors j'ai du échangé de place. 

Na-san ... D'accord... Je me raidit.

- Combien de temps reste-t-il ?

Hiroto regarde sa montre et m'annonce qu'il reste 8 heures de vole. Je suis à la fois heureuse de passer 8 heures avec Hiroto, et à la fois tendu. Lui, à l'air d'être stressé. Je soupir et je pose ma main sur l'accoudoir, lorsque je me rend compte qu'Hiroto avais déjà mis la sienne. Je la retire vite en rougissant. Nous restons longtemps ainsi, silencieux, tendu et gêné. Au moins une bonne heure. Je commence à perdre patience. Hiroto sort son téléphone et envoie des messages. Je me sens un peu exclus ... Soudain, ce dernier plaque son téléphone de rage en grognant :

- Ce qu'il peut m'agacer celui là ...

Je le questionne du regard quand il me montre une de ces conversation avec Seiji :

Conversation avec Seiji Iwatari :

Seiji : "Comment ça se passe avec Kilari ?"

Hiroto : "?"

Seiji : "Vous faîtes quoi ?"

Hiroto : "Rien. Pourquoi ?"

Seiji : "Tu ne lui as pas dit tes sentiments !? Allez lance toi ! ;-)"

Hiroto : "Je n'ai rien à lui dire ! Fiche moi la paix !"

Seiji :" Mais que tu es susceptible ! ^^"

Je rit. Hiroto est vraiment susceptible. Mais au fond, je m'attendais à ce qu'il réponde quelque chose de plus agréable. Si seulement ... Il pouvait ... m'aimer...

Chapitre 22 : Courage !

Je rends à Hiroto son téléphone en me forçant à rire. J'en ai assez. Je veux avancer ! Il ne faut plus que je me cache ! Hiroto répond embarrassé :

- Alors ? Qu'est ce que t'en penses ..?

Je plante mon regard dans le sien, ce qui l'étonne énormément :

- Alors je pense qu'il faut qu'on parle.

Hiroto ne répond pas, alors je reprends :

- Ce que je vais te dire va peut-être te surprendre Hiroto, mais il faut que tu saches qu'entre toi et Seiji, c'est TOI mon meilleur ami.

Hiroto rougit brusquement :

- De ... de quoi ?!

Je reprends mon souffle :

- Oui, entre toi et Seiji, c'est toi mon meilleur ami ! Je ... Seiji est vraiment gentils avec moi, mais toi, tu as quelques choses en plus ... Tu es plus ... Hum ... "Vaillant" que Seiji je dirais ...

Hiroto n'en peux plus. Il est rouge pivoine et bégaie :

- Mais quel est le rapport avec la conversation de SMS entre Seiji et moi..?

Je rougit honteuse :

- Euh ... Bah ... C'est que ... En fait ... Quand tu te fiches de moi pour rire, bah ça me blesse vraiment parce que ... Tu es plus qu'un simple ami pour moi... Tu es mon meilleur ami, et je n'aime pas te voir dire ça sur moi ... Alors que je te considère vraiment comme tu es ... Tu ... vois ?

Le silence s'installe. Je me sens soudainement honteuse d'avoir sortie ça comme ça. J'aurais du me taire ! Pauvre idiote que je suis !

- Toi aussi tu es ma meilleur amie Kilari... Tu le sais ça ? Répond Hiroto.

- Hum ... Bah maintenant oui ... Bégaie-ai-je.

- Désolé d'avoir dit ça à Seiji ...

- C'est oubliée ...

***

- KILARI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je sursaute et me retourne : Seiji fonce vers moi et me hurle :

- Hiroto est TRÈS TRÈS TRÈS malade !!! Viens vite !!!!!!!!!!!

Je reprends peu à peu conscience. Hiroto m'avais laissé me disant qu'il allai discuter avec Seiji et je m'étais rendormie. Je saute d'un bond et mon cœur s’accélère. Je suis Seiji qui m'emmène vers les toilettes. Hiroto, à quatre pattes sur le sol, est en train de vomir. Je me précipite sur lui :

- Hiroto ! Oh mon Dieu !

Hiroto ne s'arrête pas et je sens son mal aise. Je lui tape le dos pour l'aidée à déglutir son repas plus rapidement tandis que Seiji appelle Mr Muranishi et Mme Kumoï. Hiroto s'arrête mais garde la même position. 

- Ki ... la ... ri ... Chuchote il.

- Hiroto calme toi et resp...

Je n'eut pas le temps de finir ma phrase que ce dernier se remet à vomir. Je ne peux que lui parlé, l'encourager, et lui taper dans le dos. Les larmes me montent aux yeux et je pense : " Qu'est ce qu'il s'est passé pour que tu puisses tomber autant malade ..?" Soudain, je m'arrête net. Hiroto viens de s’agripper à mon épaule et s'appuie sur moi, comme si c'étais la fin. Il me chuchote :

- C'est passé ...

Je prends Hiroto dans mes bras et je le serre très, très fort :

- Tu m'as fait peur ... Idiot ! Dis en pleurant.

Il respire lentement et fort. Il arrive tout de même à articuler :

- Désolé ...

Je le serre encore plus fort en pleurant de plus belle. Quel idiot... J'ai eu si peur ! Si peur ! Je tente de me détacher de lui mais il me retient :

- Non. Pas ... encore.

Je rougit, mais je n'y fait pas attention. Hiroto me murmure :

- Si je dois me forcer à vomir pour que tu m'enlaces dans tes bras, je le ferai tout les jours ...

Chapitre 23 : Ne me lâche pas ...

- Si tu le demande simplement, sans vomir, je t'en ferai un chaque jour, à l'heure que tu veux ... Murmurai-je en pleurant.

Je le sens sourire :

- Mais je suis trop têtu pour t'en demander un ...

Je rit :

- Alors je le ferai de moi-même quand l'envie me dit.

- J'ai hâte. Dit-il.

Nous rions tout les deux, et Hiroto m'enlace à son tour, afin d'accepter mon câlin. Nous nous resserrons tout les deux. Il passe sa main dans mes cheveux tandis que je me blottis au creux de son cou. Son odeur est si douce et si pétillante ... Hiroto entamma :

- Dis moi, est-ce que tu ... aimes encore ... Seiji ?

Je rougit :

- Non. J'en aime un autre.

Il chuchote :

- Qui est-ce ..?

Je sourit :

- C'est un secret !

Hiroto rit et me souffle :

- Tu sais quoi ? Je croix que moi aussi je suis tomber amoureux d'une fille.

- Et qui est-ce ..? Demandai-je gaiement.

- Pas tout de suite ... Je préfère que tu le devines par toi même !

Je rit :

- Je prendrais le temps qu'il faut, mais je découvrirais vite celle qui as la chance d'être aimé par toi !

Nous rions cœur unis et nous nous détachons. Hiroto passe sa main sur ma joue et essuie le peu de larmes qu'il me reste en me soufflant :

- Je n'aime pas voir ma meilleure amie pleurer à cause de moi.

Je répond :

- Et moi je n'aime pas voir mon meilleur ami malade !

- Maintenant, il va mieux, alors souris Kilari ! Rit-il.

Nous sourions et sortons en appelant une hôtesse qui lavera la salle de bain. Hiroto attrapa ma main et la serre. Je lui répond par la même pression et nous allons nous asseoir l'un à côté de l'autre. Il s'asseois et me chuchote :

- Dors. 

Je ris :

- Tu étais malade, alors toi aussi !

Il sourit et ferme les yeux. Je pose ma tête sur son épaule. Je le sens se raidir et je l'enlève aussitôt, gênée. Il tourne la tête et dit :

- Non, remet-là. J'ai envie de l'avoir prêt de moi.

Je la repose, timide lorsqu'il pose la sienne sur la mienne, toujours main dans la main, et nous nous endormons ainsi, rêvant l'un de l'autre...

Chapitre 24 : Quelques nouvelles de mes meilleures amies !

Les yeux toujours fermés, je repense à notre conversation. Je ne veux pas les ouvrir, je veux encore profiter de ce moment. Encore un peu, avec Lui. Un sourire flotte sur mes lèvres sans même que je m'en rende compte. J'aime Hiroto. De tout mon cœur, je l'aime. Je soupire et je fini par ouvrir les yeux. Hiroto est toujours là, à côté de moi, les yeux... ouverts. Je sursaute et je me sens rougir. Il me regarde. Moi, Kilari. L'espace d'un instant, je m'imagine détourner le regard, rougir de nouveau, plonger dans un silence gêné, encore, encore, encore. C'est le même scénario qui se répète à chaque fois qu'il bouge, qu'il reste immobile, qu'il parle, qu'il se tait... Quoi qu'il fasse, je l'aime. Je me noie dans la lumière de ses yeux. Quelque-chose se passe entre nous, je le sens au plus profond de moi. Pas un mot, pas un geste. Bien plus que ça. Je ne détourne pas le regard, lui non plus. On se comprend sans parler, et ce que je ressens maintenant va bien au-delà des mots.

- Hiroto ?

Seiji apparaît soudainement derrière la tête de celui que j'aime et je sursaute. Je rougis si fort que je lance :

- Euuuuh salut Seiji ! Je ... Je vais au toilette, bye ! 

Je me lève sans comprendre et je file au WC. Je m'enferme et je réfléchis. Nous arrivons dans .. 1h30. Il faut que je me calme ! J'ai une tournée mondiale ! C'est important !! Je dois me reprendre et ne pas penser sans arrêt à Hiroto. Pourtant, il est si beau ... Hum hum, bref. Ressaisis toi Kilari, ressaisis toi ! >.<

Je sors et retourne m'asseoir à ma place. Hiroto est partie pour discuter avec Seiji .. Je me laisse tomber sur mon siège, met ma tête dans ma main et écoute attentivement le bruit de l'avion. Il est sourd et grand. Ça me fait sourire bêtement ! Je me tape sur les joues puis je sors mon téléphone portable de mon sac et je commence à envoyer un message à Noélie :

"Coucou Noélie ! (=^w^=) Ça va ? Qu'est ce que tu deviens depuis que je ne suis plus là ?"

Je me demande si elle répondra vite. Elle doit surement être très occupé .. Sachant qu'avec ses nombreuses séances de sports .. Je roupille une bonne vingtaine de minutes en rêvant de magnifique crêpes au crabes et je me réveille au moment ou mon téléphone vibre. Je lis sa réponse immédiatement :

" Hey Kilari ! Ca faisais longtemps ! (*^*) Moi ça va super bien !  Cobénie et moi avons décidé de ne plus faire de duo, alors nous sommes solo chacune de notre côté ! Je t'explique tout ce que tu as raté ... Premièrement, j'ai sortie ma deuxième chanson et elle a eu un succès internationale ! Cobénie aussi d'ailleurs ! ;) Tu as intérêt à aller les voir étourdie ! :p Deuxièmement, Cobénie est tombé sous le charme ! *^* De qui ? D'un nouveau qui est entré dans l'agence et on s'occupe de lui ! :D Il s'appelle Kitami et il est super drôle ! ^^ Je t'en parlerai plus en détail plus tard. Pour le moment, ils ne sortent pas encore ensemble, mais je suis sur le coup ! ;p Et troisièmement, donne moi de TES nouvelles ! :) 

Bisous ! :D

Noélie "

 C'est un peu court mais ça me fait très plaisir ! Je tapote sur mon clavier à la recherche de mot à répondre, mais rien ne vient. Je sèche complètement. Je soupire un bon coup et je recommence :

" Cobénie à un amoureux ?! Waou ! *^* Vite, file moi une photo ! xD Moi tout se passe bien dans l'avion ! :) Je dors et je joue au cartes avec Na-san. Hiroto met de l'ambiance et Seiji est dans la lune, comme d'habitude ! :) Ta nouvelle chanson ? Tu sais quoi, je vais la télécharger sur mon téléphone avec celle de Cobénie ! Comme ça je penserais toujorus à vous ! :D Vous me manquez tellement .. :'( Je vous adooore ! *^v^*  Je me concentre beaucoup sur mes chorégraphie et mes chansons pour la tournée mondiale alors j'ai peu de temps pour papoter. Je vais te laisser ! :) 

Bisous ! ♥

Kilari "

Je ferme mon portable et je me lève, déterminé à me concentrer sur mon rôle d'idole pour les jours à venir.

- Les passagers sont priés de quitter l'avion dans le calme. Résonne une voix dans les haut-parleurs de l'avion. 

Je soupire pour la centième fois. Je tiens entre mes mains les paroles de la nouvelle chanson que je dois chanter mais je n'arrive pas à les apprendre ! >.< Je n'arrête pas de contempler le ciel par le hublot .. En même temps, c'est pas tout les jours que l'occasion vient pour que vous puissiez contempler les nuages.. Je me lève, comme le demande l’hôtesse de l'air et je descends suivit de Hiroto, Na-san et Seiji. A peine posai-je un pied sur le sol français que des centaines de flashs m'éblouirent ! Les journalistes étaient là ... Mr Muranishi me cache et nous rentrons d'un pas pressé dans l'aéroport, puis nous filons vers un taxi. Il s'arrête et nous emmène à l'hôtel tout en ronchonnant. Mme Kumoï m'avais prévenue : les français sont vraiment grincheux. Il va falloir que je m'y mette à fond pour mon concert ! 

Nous arrivons à l'hôtel, 5 étoiles bien sûr. Une étoile m'aurais suffit mais Mr Muranishi voulait profiter de sa semaine en France le plus possible, même si il devait dépenser ses yens dans un hôtel 5 étoiles .. Je descends du taxi (une fois qu'il est arrêté hein ..) et je monte dans la chambre .. Hum .. 107. Hiroto et Seiji sont dans la 109, Mme Kumoï est avec moi, et Mr Muranishi avec les garçons. Nous avons une belle vue sur la "tour Eiffel" qui est magnifique ! Nos lit sont confortable et l'appartement et très luxueux. J'en profite pour me prendre une bonne petite douche, puis je me rhabille et je vais manger un ou deux bout de gâteau (à vrai dire, je ne sais plus combien j'en ai manger ..). Mme Kumoï sirote un thé face à la bais vitrée qui donne sur la Tour Eiffel quand soudain, on toc à la porte :

- Hmm ..? Grogne Mme Kumoï. 

On ne semble pas l'entendre. Je me lève tristement en quittant mon gâteau et je vais ouvrir la porte. Là, devant moi, Mr Muranishi se tient et chantonne :

- Ah ! Quelle belle ville que Paris ! Je pourrai y habiter des années, même plusieurs vies !

Il entre sans demander la permission et reprends un air sérieux. Qu'il a par ailleurs très rarement ... Il dit :

- Bon Kilari ! Nous avons ce soir une interview. Mme Kumoï s'occupera de ta tenue quand  à moi, je te traduirait les questions des français. Mes études de langues n'auront pas servie à rien.. Se consola-t-il. 

Il se reprit et dit :

- Ah oui ! Une dernière chose : A l'interview, tu seras avec une autre idole, mais française cette fois-ci. 

Une autre idole ? Je pourrai me faire une amie ! Je lance, impatiente :

- Oh ! Quelle chance ! Qui est-ce ? Comment s'appelle-t-elle ?

Mr Muranishi me regarde sans rien dire. Il n'a pas l'air d'avoir compris. Brusquement il rit à tut tête et dit :

- Non, tu as mal compris Kilari ! Quand je disais une idole, j'aurais pu dire "un chanteur" ! Enfin, ce que je veux dire par là, c'est que c'est un garçon. Il est d'origine Japonaise, tu pourras bien discuter avec lui. Il n'empêche que c'est ton rival. N'oublie pas que vous allez vous affronter durant le concert ! 

Je reste de marbre. Un garçon ? A.. Après tout.. Ou est le mal ...? Je me reprends vite et je réponds :

- Garçon, fille, peut m'importe. Il se peut qu'il soit bavard est ai envie de discuter ! Après tout, j'aime déjà quelqu'un d'autre, rien ne peut se passer entre nous. 

De toutes façons, Mr Muranishi et Mme Kumoï étaient, cela ce voyait, depuis bien longtemps au courant que j'aimais Hiroto. En revanche, je ne m'attendais pas à ce que ce dernier rentre dans la chambre aussi vite. Heureusement, il n'avait rien enttendu.

- Dis donc, cria Mme Kumoï, tu connais la politesse Hiroto ? On frappe au porte avant d'entrer !

- Oh, excusez-moi .. Dit-il. Je voulais prévenir Kilari : Seiji et moi allons faire un tour ce soir avant de te voir à l'interview. Tu veux venir ?

Je pense profondément et je me dit que malgré moi, je dois absolument restée pour me préparer. Je dit tristement :

- Non désolé. Je dois me préparer pour l'interview. Par contre, si tu pouvais me ramener une p'tite crêpe parisienne, ça me ferait très plaisir ! *^*

Il rit au éclats, suivit de Seiji que je n'avais pas remarquer :

- Bien sûr ! On t'en paiera deux si tu veux ! Dit Hiroto

Je souris. Pas pour les crêpes hein ! Juste parce qu'Hiroto est magnifiquement beau quand il est heureux .. 

Je rit avec eux puis Mme Kumoï s'interpose pour que j'aille me préparer, tandis que les SHIPS s'en allèrent dans les rues ensoleillées de Paris ...